La Sophrologie permet de découvrir un nouvel équilibre corps/esprit.
Les émotions, l’anxiété, accentuent les symptômes de la maladie, le but de la Sophrologie est d’apprendre à s’aider soi-même. Les techniques de relâchement musculaire amènent un soulagement de la douleur et favorisent l’installation de sensations agréables.
Un des effets immédiat est de retrouver la confiance. L’apaisement physique amène une tranquillité mentale, donc des humeurs, des sentiments et les émotions sont mieux gérés. On redevient acteur de sa vie.
Mais la maladie touche aussi l’entourage et plus particulièrement les personnes aidantes (famille, personnel soignant). L’aide, le soutien que l’entourage veut et doit apporter est souvent mis à l’épreuve par l’attitude, les sentiments, les émotions, l’anxiété du malade. Ces personnes aidantes doivent apprendre (ce n’est pas inné) à s’adapter et à se protéger car elles courent le risque de l’épuisement tant physique que psychique. Se positionner dans ce rôle de façon objective est indispensable.
La Sophrologie permet de (re)contacter ses ressources, de prendre conscience de ses capacités (ce qui évitera de se sentir dépassé ou impuissant). Elle renforce la confiance en Soi, en les autres, en la Vie.
« Sortir du « je n’ai pas le choix » .
« Sortir du « je ne le fais pas pour moi ».
Pour apprendre justement à le faire pour soi,
Et aider ainsi l’autre sans le mettre en dette.
C’est cette position (plus ou moins inconsciente) « être en dette » qui fait que la situation devient insupportable pour la personne aidée et (toujours inconsciemment) qu’elle cherchera à se débarrasser du « créancier » par n’importe quel moyen.
Aider l’autre, c’est savoir prendre sa part en réfléchissant à ce que nous apporte cette action.
Quelle valeur importante pour nous est respectée?
Garder la réponse à la conscience permet d’être juste et respectueux.